Une fois n’est pas coutume, je vous parle dans ce post d’un film : « Dans un jardin qu’on dirait éternel » de Tatsushi Omori. Le titre est merveilleux et le film est aussi poétique que son titre.

On retrouve l’immense Kirin Kiki, la cuisinière qui sauve l’échoppe de dorayakis dans « Les délices de Tokyo » et la grande-mère d’ « Une affaire de famille ».

Sensei Takeda apprend à Noriko à laisser ses mains faire le thé, comme une méditation en mouvement, à écouter tomber la pluie, à reconnaître que chaque jour est un bon jour. Bref, à être en yoga !

Bon film,

Laurence.